Entre figuration et abstraction, présence et absence, la série Ruines évoque des paysages urbains dans lesquels flottent des éléments : lignes, traits, aplats de couleurs et dégradés. Loin de s’opposer, ces formes composent un langage qui signifie et incarne l’effervescence perpétuelle de l’espace urbain. Sans pour autant représenter des endroits réels, ces typologies suggèrent des cosmologies, à mi-chemin entre réalité et fiction ; la superposition des couches ou l’effacement rend compte d’un espace instable, ouvert à d’autres formes d’états, matériel ou immatériel.
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